Frustrations tragiques ressurgies après un manque de sommeil et d'oxygène dans la travérsée de l'Atlantique en avion, complétées avec la sereinité illusoire de la bouteille... :roll:
C'est très cru et spontané... peut-être le retravaillerai-je.
Vos impressions et suggestions sont les bienvenues.
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Fragments
Oh Déesse de la perdition,
Combien d'hommes ont succombé
A ton si délicieux poison
Pour, en fin, à jamais tomber?
Toi qui d'un simple sourire
Dans tes bras meurtiers attire
Le coeur seul qui ne veut mentir
Le garde captif et le fait souffrir!
Pourtant, tu ne peux empêcher
Mon âme de se souvenir
Des longs jours insouciants
Où je revais, incertain, de l'avenir
Mon rêve est tout ce qui me reste...
Le doute te ronge: ta splendeur
N'est qu'éphémère lueure
Qui dans le repos de la tombe
N'illuminera plus ton être creux;
Et nous serons unis dans le regret!