Et bien à mon avis tu aurais du le préciser dans le bouquin, ce que tu viens de dire là.
Je crois que ceux qui sont capables de déceler le dirigisme sont ceux qui (en grande partie) savent ce que c'est et au mieux l'évitent et ils ne trouvent pas dans ton bouquin les ressources pour faire cela.
Le "MJ est tout puissant", c'est has-been, vieux ! :D
Si le JDR peut s'improviser à 100% (je l'ai déjà fait avec Magali pendant une soirée glandouille avec des histoires complètement improvisées à deux et des règlement de conflits au chifumi ^^) écrire un livre permet de structurer un jeu en lui conférant cohérence et "puissance" (via des mécaniques éprouvées et millimétrées) après des tas de tests et de réflexions interminables. Jamais de ma vie, je n'aurais joué à Dogs in the Vineyard si l'esprit incroyablement fin de Vincent Baker n'avait pas pris des années pour le penser et l'écrire.
Donc, c'est bien beau de dire : "MJ, faites ce que vous voulez", mais ça ne produit en réalité aucune proposition. Ce que tu proposes, les MJ le font déjà.
(désolé, je suis en plein crossover avec l'autre thread) Quand tu dis que le MJ se retrouve face à un miroir dans ton jeu, tu penses qu'il va se donner la peine de pallier aux lacunes qu'il décèle. Ce que je crois, c'est plutôt qu'il est devant un miroir dont il manque de gros bouts et qui va finir à la cave.
Désolé si je suis cassant, mais c'est ton absence de réaction qui m'énerve. J'essaye simplement de te botter violemment le cul pour te faire réagir : ce n'est pas avec cet état d'esprit que Sens détruira les autres livres de ce monde !