Je suis très réceptifs aux arguments qui m'ont été donnés contre ce titre, et je trouve que la dernière évolution en fait un autre jeu. Je vais laisser la version ashcan de Psychodrame disponible sur mon blog, et je vais donner un autre nom à la nouvelle version.
Les critiques sont : ça fait trop "psychiatrique" ; ça fait trop "mélodrame" péjoratif ; ça emprunte le nom d'une pratique thérapeutique (ce qui déplait à des cliniciens, mais qui a attisé leur curiosité tout de même) ; et ma critique perso : ça joue sur un terme galvaudé par les journalistes.
- Les mythologies ordinaires : trompeur, sonne pas très bien
- Les chimères ordinaires : trop ésotérique, peut attirer des rôlistes, mais faire fuir le reste du public visé
- Psyché (proposé par Fabien) : pourquoi pas, un peu littéraire (ou assimilable à psychédélique, psychopathe...)
- Entre-deux
- Interstices
- Fragments
- Fragments de Psyché
- Fragments de vie
- Catharsis (hum... amalgame thérapeutique risqué)
- Entropie
- Bribes
- Portraits
- Journal intime
- Jeu de dupes
- Biographie (Arthur... cuillère, biographie !)
- Synesthésie (huhuhu)
- Méconnaissance (jargon d'Analyse Transactionnelle : prête à confusion, et c'est beurk)
- Jeux psychologiques
- Dans la peau de...
- Strokes
...
Je suis très perplexe. Je trouve que donner un titre générique à ce genre d'histoire, c'est la porte ouverte aux clichés, au niaisou... Aller du côté de la psycho, c'est la porte ouverte aux quiproquos et aux interprétations foireuses. Dans la littérature, il est possible de prendre une anecdote ou une métaphore de la problématique de l'histoire, mais ça me paraît difficile pour un JDR.