Jouer selon une démarche simulationniste, c’est faire en sorte que le style, la logique et la cohérence de la fiction soient ce qui préoccupe le plus les participants. Cela signifie qu’ils développeront un cadre appelé canon esthétique et qu’ils chercheront à dire des choses qui séduiront leurs partenaires de jeu, en étayant les éléments de ce canon sans jamais le transgresser.
Un JDR, c’est comme un bateau. On a besoin de vérifier les pièces détachées avant de les assembler, puis vérifier s’il flotte et ajouter progressivement le moteur ou les voiles pour finir par la peinture et le matériel de sauvetage. Il faudra le lancer en mer plusieurs fois avant de pouvoir être sûr que d’autres pourront le piloter.
Frédéric a écrit : Un JDR, c’est comme un bateau. On a besoin de vérifier les pièces détachées avant de les assembler, puis vérifier s’il flotte et ajouter progressivement le moteur ou les voiles pour finir par la peinture et le matériel de sauvetage. Il faudra le lancer en mer plusieurs fois avant de pouvoir être sûr que d’autres pourront le piloter.
Thomas Munier a écrit :Il est simple d’être complexe. Il est complexe d’être simple. Si la simplicité peut faire beaucoup de bien dans tous les domaines, elle n’est pourtant pas le chemin de moindre résistance. Le domaine du game design n’y fait pas exception.
Une partie de JDR traditionnelle (ou classique) est une partie pendant laquelle le MJ a le dernier mot sur tout ce qui a un rapport avec le jeu. Par extension, j’appelle JDR traditionnel un texte de jeu dans lequel, implicitement ou explicitement, le MJ a le dernier mot sur tout ce qui a un rapport avec le jeu.
Si une partie de JDR ne donne pas le dernier mot sur tout au MJ, elle devient une partie de JDR à autorité partagée. Par extension, j’appelle JDR à partage d’autorité un texte de jeu qui répartit l’autorité du MJ entre les participants.
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